Un dû qui ne se justifie point donc et qui, à lui seul trouve la force d’inspirer la vie. Évidemment, en ces sombres heures de triples A qui flanchent, de PIB en berne, de faillites économique et de perte de valeurs, un art qui transporte, émeuve, inspire et nourrisse l’imaginaire a de quoi séduire. Guerlain profite donc de la FIAC pour convier une quinzaine d’artistes contemporains bien décidés à rompre avec l’austérité et la morosité ambiantes pour célébrer enfin l’insoutenable légèreté de l’être...