À l’occasion de sa deuxième exposition dans le cadre de sa résidence au Parc culturel, Dominique Ghesquière présente une nouvelle œuvre toujours liée à l’idée de nature et de paysage au sens large, non pas une sorte de décor arrière-plan dont l’individu serait détaché mais plutôt le paysage qui introduit l’homme à l’ensemble dans lequel il existe. Un buisson de ronces, un banc de galets, un bosquet à hauteur d’yeux d’un enfant comme dans les contes de fées... Les troncs d’arbres un peu fantomatiques se jouent du vide et du plein, de l’illusion et du réel, du camouflage et du sensible.